Sothys : l’excellence française du soin

La légende raconte qu’en Egypte une étoile d’une éblouissante clarté nommée Sothys dépassait de loin la beauté de Venus. C’est cette déesse qui inspira la marque éponyme dans sa quête absolue de beauté et de perfection.

Créée en 1946 sous l’impulsion du docteur Max Hotz, médecin biologiste visionnaire du soin et passionné d’Égyptologie, Sothys est l’une des marques originelles et incontournables de l’institut et du spa.

Aujourd’hui, Sothys représente l’excellence française du soin. Une success-story à la Française avec un cœur qui bat en Corrèze, les racines de la famille Mas, et dont la vitrine mondiale s’épanouit depuis 1985 à Paris rue du Faubourg-Saint-Honoré.

LA NATURE,

véritable source d’inspiration

En Corrèze, Sothys cultive l’excellence et le développement durable. Tout à la fois jardins d’ambiances, ensemble de petits clos intimistes aux atmosphères variées, ils vous invitent à une évasion sensorielle, une expérience unique qui allie nature, beauté et culture.

On y ressent harmonie, sérénité et calme. Grâce à l’inspiration de ces jardins, Sothys a pu pousser sa recherche avancée qui constitue le socle des innovations scientifiques de la marque.

Stéphanie du Chaxel,

directrice Marketing International

a expliqué…

Est-ce que Sothys est très “nature “?

On prend le meilleur de la science et de la nature. On est très végétal parce qu’on a nos propres jardins. À travers ces jardins, on fait de la recherche avancée et on développe des actifs spécifiques.

Voici notre nouveau lancement sur le traitement des tâches. On a développé un actif breveté qui est de l’ortie biologique qui permet effectivement d’avoir une activité sur la prévention des tâches.

C’est vrai que Sothys est très nature. Mais on n’est pas 100% nature. On va dire que les taux de naturalité d’un produit Sothys, c’est entre 80 et 90 %. Et pour le reste, c’est de la science bien pensée et raisonnée qui donne cette efficacité.

Cela veut dire… ?

Nous avons plus de 75 ans d’expérience et notre propre laboratoire. À partir de l’idée jusqu’à la formulation, nous avons la maîtrise du processus de production de nos produits.

Il faut avoir une démarche très rigoureuse sur les formules et s’applique aussi dans la sélection des actifs. C’est une marque internationale, on se met en conformité avec les réglementations les plus poussées à l’international.

Par exemple, pour vendre au Canada, il faut quasiment une classification médicale et cela vous oblige à être très rigoureux. Pour vendre en Australie, c’est pareil. Étant représenté dans 120 pays, on est obligé de se caler sur les réglementations les plus restrictives du monde.

On a une véritable démarche de sélection des actifs, des conservateurs. Par exemple, on n’a plus de phénoxyéthanol et de parabène depuis des années. On va appliquer ce qu’on appelle une démarche raisonnée des conservateurs. On fait des tests en laboratoire pour optimiser la dose des conservateurs afin de permettre de préserver le produit et aussi de préserver la peau. On fait des dosages pour trouver ce bon pourcentage ce qui est vraiment très respectueux de la peau.

On a une démarche de sélection des actifs sur lesquels on n’a aucun risque d’abîmer la microsystèmes de la peau. C’est là aussi, c’est une sélection avec des partenariats et des fournisseurs d’actifs.

On a une démarche aussi très avancée sur tout ce qui est le développement durable, notamment à travers des choix de packaging. On en travaille de plus en plus sur des matériaux recyclés.

C’est une démarche globale et une philosophie pour apporter aux consommateurs une cosmétique qui soit respectueuse de la peau et respectueuse de l’environnement.

Une Aventure Familiale ,

à la conquête du monde…

C’est une fantastique aventure familiale au service des professionnels du soin, la transmission d’une tradition du luxe sans ostentation, qui s’exerce de père en fils.

L’histoire commence avec Henri Mas et ses fils Bernard et Jean-Pierre, puis aujourd’hui ses petits-enfants Christian et Frédéric.

Tout ensemble, ils sont partis à la conquête du monde. Sothys développe dans 120 pays une démarche exclusivement professionnelle, pratiquée par des esthéticiennes hautement formées à la marque.

Rencontre avec

Christian Mas

le président de Sothys

Est-ce que Sothys est en Asie ?

Oui, la zone Asie est une partie très importante de notre marché. On est en Chine, en Malaisie, à Hong Kong et à Singapour. Mais tous nos produits sont fabriqués en Corrèze. Ils partent dans tous les pays du monde entier. On a même une filiale au Japon.

Comment travaillez-vous en Chine ?

Sothys a commencé à travailler en Chine vers la fin des années 90. On a notre plateforme logistique depuis très longtemps qui est à Singapour. C’est vrai très rapidement qu’on a eu des contacts en Chine continentale avec donc 2 distributeurs, un à Pékin pour la Chine du Nord et un à Shanghai pour la Chine du Sud.

En Chine, aujourd’hui, on est uniquement dans l’institut de beauté, et un peu en spa hôtelier. Le but, c’est de continuer à développer notre marque. C’est un peu plus dur avec les enregistrements. On a la chance d’avoir des partenaires fidèles parce que nous travaillons ensemble depuis 20 ans.

On reste toujours dans un bon esprit. Je pense que les années à venir vont être une belle étape en Chine.

Avez-vous des difficultés en Chine ?

Les cosmétiques français sont quand même encore reconnus en Chine. Mais la grande difficulté aujourd’hui, ce sont les enregistrements qui ne nous permettent pas toujours de proposer l’intégralité de notre catalogue.

La 2e difficulté, je dirais, c’est l’évolution du marché chinois avec la nouvelle génération. On vient d’un système de distribution très traditionnel comme l’institut de beauté. On s’est ouvert à Internet et mais peut-être avec un peu de retard là-dessus.

Quel est le savoir-faire de Sothys ?

Le savoir-faire de Sothys est vraiment dans le soin en cabine, et aussi les produits en vente . On a 300 références. On est vraiment spécialiste pour avoir les meilleurs résultats. La marque date de 1946. Mon père l’a développé en 1966. Pour moi, c’était un peu la vague de la beauté française où il y avait plein de marques qui se lançaient au Faubourg Saint-Honoré dans le 8^e arrondissement. Malheureusement, on reste seulement un peu les dépositaires de ces traditions de la beauté à la Française des années 60.